Jardin Poème invite à entrer dans l’entretien poétique entre les mots, et les gravures gaufrées ou imprimées sur papier japon. La métaphore de la rêverie fugace apparaît dans les mots gaufrés, visibles selon l’orientation de la lumière et le point de vue du spectateur. Les monotypes présentent des empreintes végétales issues de cosses de catalpas récoltées dans la ville de Reims et ailleurs. D’autres offrent un voyage pictural dans lequel les empreintes, les traces de surface ou les cheveux imprimés créent des fragments de croissance en mouvements.


Sur les murs :  marouflage des poèmes de Jacques Prévert, Ghérasim Luca, François Villon. Dans les gravures, poèmes de Pierre Soletti.